Max Diakok, membre d’honneur de Mamanthé
Le travail culturel effectué par Mamanthé à Marseille est précieux et profond. Ayant vécu dans le sud de la France au début des années 90, je mesure le chemin parcouru quant à la visibilité de notre culture caribéenne dans cette ville. Ce travail de transmission et de diffusion est d’autant plus précieux qu’il est sous-tendu par un regard débarrassé de sa gangue folklorisante. Toute l’équipe de la Compagnie Boukousou a eu l’occasion d’apprécier l’accueil et le professionnalisme du festival Kadans Caraïbe, organisé par cette association, lors de la programmation de ma pièce Waka douvan jou en 2016.
Par ailleurs, l’attention portée à l’insertion, la solidarité et la mixité sociale, est particulièrement bienvenue en ces temps de crise sociétale.
C’est avec un grand bonheur que j’accepte d’être membre d’honneur de Mamanthé.
Max Diakok
Danseur – chorégraphe
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